L'invisible lien, partout dans la nature*
Se brode et se tisse du moindre interstice
Au cœur des soupirs, murmure
En désir, de tout indice
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L'invisible lien, de la vie à la mort
D'un rêve vivace du Montparnasse
Se tresse et se tord et brille si fort
Mais jamais ne s'efface de l'espace
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L'invisible lien, parfois caresse
De sa légère aura opaline
Avec délicatesse, celui qui reste
Laissant une empreinte divine
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L'invisible lien, connexion éternelle
Laisse entrevoir l'incroyable péristome
D'un frisson enclin aux lueurs spirituelles
Du visible à l'invisible au son du métronome
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C'est ainsi qu'il s'illumine
D'une foi flamboyante
Quand les souvenirs s'enracinent
D'une grâce confidente
Tous droits réservés
* Léon Dierx (1838-1912)
Je dirais plutôt que tout devient plus léger,
Certaines douleurs et certains poids.
Certaines blessures.
Rien ne passe complètement
Et encore moins ce qui vous a blessé
Au fond de vous.
Et ça fera partie de nous
Même quand ce sera vraiment passé.
Je dirais plutôt que tout se surmonte
Et qu'on va de l'avant !
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