Il n'y a pas de hasard dans la vie Il suffit parfois d'une rencontre D'un regard, pour que votre monde Soudainement change et s'illumine
❤ Nos âmes, à la croisée des chemins Se sont reconnues en un instant Et sans nous toucher vraiment Signent le livre de notre destin ❤ Combien sommes-nous sur l'écritoire Dans l'obscurespace-temps Fixés dans un prélude à la soie d'un filament Emprisonnés dans notre histoire ❤ Rien ne viendra jamais nous séparer L'amour qui nous unit est infini Ô l'imperfection de la vie peut frapper Mais la nature vers toi toujours me conduit ! ❤ Je sais que partout tu seras mon ange Et je prends conscience de cette évidence Je peux sentir dans la profondeur du silence L'émergence de ta présence ... ❤ Quand sonnera l'heure de fleurir à nouveau Nous fusionnerons dans un champ de coquelicots A la source divine, pour l'éternité La couleur d'un arc-en-ciel viendra nous caresser !
L'amour, le véritable, se passe de mots, car l'intensité qu'il représente, ne peut être décrite dans sa totalité. L'âme ainsi reliée à l'autre, est un doux murmure divin, que seul deux êtres voués l'un à l'autre, peuvent percevoir. Le lien éternel qui les unit, est d'une telle magie, qu'aucun mot qui existe ne serait assez puissant, pour le nommer, comme il le faudrait... C'est l'évidence même, de l'amour inconditionnel, dans toute sa splendeur...
Non, ce n'est pas dans l'ordre des choses ! Quand lafoudre a violemment frappé Mon cœur s'est mis àfondre de ces ecchymoses Réduisant en cendres le passé Mais je ne peux me résoudre, ici ou ailleurs Rien n'est jamais vraiment perdu, je le sais, je le sens Pour moi, dans le méandre de l'espace-temps Tout est en suspens J'attends
❤
Quoi qu'il se passe, je sais que toi aussi Tu m'attends avec patience Dans l'antichambre de la conscience L'espoir et la foi me conduisent Mais qui peut vraiment comprendre Si ce n'est ceux qui comme nous Ont fusionné leurs âmes !
❤
Dans la lumière des sentiments Ceux qui sont feux et flammes Jamais ne pourront s'éteindre Sans peindre de leur présence Un arc-en-ciel de confidences
"L'attente est toujours une torture ; l'attente sans espoir, la pire de toutes." Arthur Koestler, romancier (1905-1983)
Un testament espagnol
Deux personnes qui ont une connexion Ne peuvent jamais la rompre, Même si elles s'éloignent pendant longtemps.
Même s'ils le nient, Ils ressentiront cette nostalgie Dans leur cœur Et une partie de l'un vivra dans l'autre. Il y a des gens qui te marquent A vie et tu n'y peux rien ...
Combien de vies, combien d'expériences avons-nous accumulé depuis que nous sommes humanité ? N'avez-vous jamais eu cette impression étrange de vivre une situation que vous avez déjà vécue ou de rencontrer un(e) inconnu(e) qui d'un regard vous donne cette sensation de le/la connaître depuis toujours, comme si vous étiez des âmes sœurs ou des âmes jumelles ?
Peu d'entre-nous ont cette chance, malgré toutes ces réincarnations de trouver leur âme sœur, celle qui d'un simple regard devine vos pensées, celle qui vous aime telle que vous êtes, celle qui peut à l'avance prévoir vos gestes et actions, comme si vous formiez une seule et même personne !
Ces âmes-là sont précieuses, elles font partie d'une seule et même famille et il arrive parfois que le destin inopinément les mettent sur la même route ... Mais parfois les sépare parce que l'univers en a décidé ainsi ! Quoique la vie leur réserve, nul doute, elles sont destinées à rester attachées, fusionnées à jamais par-delà le temps et l'espace et finiront toujours par se retrouver d'une vie à l'autre !
Sur l'autre rive, sous une aube dorée, deux ailes Scintillent sous le soleil, il vient juste d'arriver Dans ce jardin d'Eden et respire la liberté Apprenti, il est guidé, mais pense à elle
Les larmes d'un cœur brisé s'élèvent vers le ciel Irisées d'émotions qu'il ne peut encore contrôler Il aimerait tant la consoler mais l'essentiel Pour lui, est d'avancer sur le chemin de la paix
Il connait son devoir envers ce nouveau monde Mais son âme reste attachée à celle qu'il a aimé De ses ailes, il s'élève sans regrets et sans honte Signes et messages, il viendra lui laisser
Un sentiment étrange sur une sculpture D'un baiser sur ses cheveux Le temps d'une chanson dans la voiture Viendront conclure ses aveux ...
Je me suis toujours questionnée sur le sens de la mort et de la vie, deux éléments intimement liés. À travers mes expériences personnelles et ma vie professionnelle, où il m’est arrivé de côtoyer la mort, force est de constater que mon regard sur l'un et l'autre s'est inversé.
Combien de gens sont à la recherche d’un sens à leur vie, à se demander ce qu’ils sont venus faire ici? À chercher une mission, se posant tant de questions ! Comment fait-on pour trouver le bonheur et pour vivre sa vie heure après heure dans une conscience renouvelée ? Comment se relier à sa lumière intérieure ?
Chaque histoire personnelle s’insère dans l’histoire de l’Humanité tout entière : tous nos aïeux sont morts, et cela n’était pas dû à un manque de connaissances suffisantes des lois de la Nature, non plus qu’au fait que, par exemple, la médecine de jadis n’était pas encore assez performante.
Nos descendants, nous le savons d’ores et déjà, même s’il y aura vraisemblablement de nouvelles avancées technologiques, sont tout autant destinés à mourir. Ce qui, d’autre part, suscite en nous aussi bien un esprit de résignation qu'un certain malin plaisir, sachant qu’il n’y aura pas des privilégiés à cet égard.
La mort de tous, ou même une mort collective, comme lors de guerres ou de catastrophes, est moins dure à endosser que la mort isolée d’un de nos enfants, d’un de nos amis, et surtout de nous-même, quoique ! Pauvres et riches, sains et malades, savants et incultes, croyants et incroyants, tous égalisés par une loi impitoyable et n’octroyant jamais de vraies prolongations.
Bref, le rapport entre Eros et Thanatos se configure à sa base comme inégal, biaisé, illusoire. Ce qui correspond plus ou moins au rapport inégal entre plaisir et douleur, entre gratification et frustration, entre espoir et désespoir.
La mort, c’est-à-dire une vie limitée dans le temps, nous offre, même si cela peut nous paraître seulement un pis-aller, des opportunités impensables dans une vie présumée illimitée. Nous avons la possibilité de construire notre personnalité foncière faisant fi de notre dotation génétique, de circonstances défavorables, d’un pessimisme admissible comme de tout optimisme bon marché.
Nous pouvons donc nous approcher de notre « comprendre la vie et la mort » par deux voies : nous pouvons compter sur le mûrissement de la pensée, sur l’accroissement de notre sagesse ou bien, sur l’autre rive du fleuve Léthé, penser notre mort comme moins terminale, moins absolue et totale que certains ne le croient, confiants que quelque chose de nous perdurera.
Rappelez-vous l’histoire de Sisyphe, fils d’Éole, héros national de Corinthe : « Sa ruse – il était considéré comme le plus malin des hommes – le mena à sa perte pour l’éternité : il crut bon en effet de lutter contre la Mort. » Sisyphe enchaîna la Mort.
« Étant donné qu’ensuite plus personne ne mourait sur la terre, les dieux intervinrent et Arès, l’Exterminateur, libéra la Mort. Ainsi Sisyphe dut-il descendre dans l’Hadès. Mais il n’avait pas épuisé ses ruses. Avant de mourir, il avait recommandé à sa femme Mérope de ne pas lui rendre les honneurs funèbres et aux enfers il se montra si affligé de cette offense qu’il réussit à éveiller la pitié des dieux infernaux qui lui permirent de revenir sur terre pour châtier sa femme et célébrer ses funérailles.
Il avait promis de redescendre aussitôt après parmi les morts mais Sisyphe se garda bien de tenir sa promesse. Pour finir, il dut se résigner à mourir et se retrouva dans l’Hadès parmi les grands pécheurs. Son inutile supplément de vie fut puni d’une peine symbolique : comme avaient été vains ses efforts pour tromper la Mort, ainsi était vain son effort sans fin pour pousser un rocher au sommet d’une montagne car celui-ci, à chaque fois, inexorablement, retombait en bas » (trad. G. Guidorizzi, 2009, pp. 677-678).
Ainsi donc, il est inutile de se poser toutes ces questions qui ne trouveront jamais de réponse ... Nous sommes ici pour un temps plus ou moins court et il nous revient de profiter de chaque instant pour faire de cette vie, une vie de joie, de bonheur, de partage, de sérénité et d'amour ... Car au final, que vous soyez riches ou pauvres, quand l'heure viendra, vous franchirez l'arche nu et sans richesse !
La seule richesse qui vous sera demandée c'est : "qu'avez-vous fait de bien durant votre vie", alors pensez-y dès maintenant !
En vrac du 30 mars 2025
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– Ça y est ! Mon ebook d’écriture est en vente au sein du bundle Un amour
de printemps ! Après mon carnet d’automne et celui de l’Avent, me voilà
avec un...
LA VIE POUR L ETERNITE
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*(image John Pitre)*
*BIENVENUE sur ce blog qui se veut un espace d'aide de soutien et de
réconfort pour toutes les personnes qui ont subi une perte ou...